Le Président Colonel Mamady DOUMBOUYA qui vient de sonner le glas de la gouvernance du PRAC, certes, nous fait rêver mais comme il est admis par un vieux dicton populaire : “Tout nouveau, tout beau”, les moments passeront très vite car le délai de grâce sera de très courte durée, si ce n’est déjà le cas.
En effet, face à ce challenge majeur, nous, élite guinéenne, ne devront pas baisser les bras et laisser encore, l’espace public à ces partis politiques corrompus et autres activistes impénitents de la société civile guinéenne qui nous ont tous pollué l’atmosphère ces derniers temps. Déjà, nos hôtels et autres résidences officielles, sont tous remplis d’aventuriers de tous poils et de tout acabit. Pour la plupart ayant déjà presque échoué dans leur vie d’outre-mer (Baa kô, derrière l’eau ou l’autre rive). La présence confirmée certaines organisations de voyous, comme le fameux Conseil de la Transition en Guinée (CTG) de Sorel Keita dont le père a trempé dans de sales draps en côte d’Ivoire pour avoir abuser de la confiance du Défunt Président de ce pays très hospitalier de l’Afrique de l’Ouest. Angoisse aggravée par cette supposée supposée sympathie du CNRD avec certaines organisations communautaires extrémistes de la diaspora. Trinquer avec certaines radicales relève du faciès que ne tolera point le peuple. Au rang desquelles figure l’équivalent des Nazi ou autres organisations d’extrême droite qu’est la tristement célèbre Potal Fii Bantal Fouta qui sous une autre bannière, était à ciel ouvert entrain de lever de fonds (fiduciaire ) pour une lutte armée au profit des peulhs en Guinée. Exactement comme c’est le cas aujourd’hui au Nigeria dans le plateau de JOS dans le nord-est où les foulani leur sement la désolation et le désarroi sous le prisme de Boko Haram qu’on ne rappellera plus les exactions et atrocités innommables.
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